vendredi 9 août 2013

Like un bébé ;















Hello à toutes et à tous !
Pour le coup, le descriptif risque d'être quelque peu... Court !
Sur ces photos, je porte : Un slip Petit Bateau blanc en coton.

Merci à Pierre pour les photos (non retouchées au passage).
http://www.youtube.com/watch?v=17ozSeGw-fY


Grosssss besoss les amigos.

samedi 6 juillet 2013

Exposition "Gobelins par nature, Eloge de la verdure", à la Galerie des Gobelins.

        Hello ! Je ne fais pas cet article au "hasard". En effet, je travaille pour l'été en tant que surveillant de salle à la Galerie des Gobelins à Paris, durant l'exposition "Gobelins par nature, Eloge de la verdure", ayant lieu jusqu'au 19 janvier. Ce "musée", si je peux me permettre le terme, présente de manière générale du mobilier, ceci allant du fauteuil à la tapisserie en passant par le tapis (Savonnerie) ou la table.
Cette exposition, dirigée par Mme Massé-Bersani sort quelque peu de l'ordinaire. Vous n'y trouverez aucune note explicative, RIEN. Il s'agit selon elle d'une promenade, remise en contexte, parmi l'ensemble du mobilier retranscrivant la nature et ses traits principaux. L'interprétation reste en ceci libre par principe, néanmoins, des points restent souvent à éclaircir. Tout d'abord sur la technique de la tapisserie, si peu étudiée et tellement désuète vis a vis de la peinture (ce qui est vraiment dommage !).

Cette exposition permet une mise en valeur parallèle et réciproque d’œuvres XVII/XVIIIe et XX/XXIe. Ainsi, il est possible d'y trouver des comparaisons fortuites et pertinentes entre Lurçat et Lebrun, sur le thème des saisons (par exemple) ;

Jean Lurçat, Le Printemps, Aubusson ; 1941.

Charles Le Brun, Le Printemps, Les Gobelins ; 1709.


La parcours de la visite est inexistant en soi, les œuvres se trouvent mélangées afin de recréer un tout assez hétéroclite. Il est alors possible de se retrouver face à des thèmes assez anciens ; verdures, mille-fleurs...



 Verdure avec Portique, tapisserie des Flandres, XVIe. 

 Charles Le Brun, L'Automne, 1709.

 Verdure, tapisserie des Flandres, XVIe. 

Feuille de chou, tapisserie des Flandres, XVIe. 

Ou alors face à des tapisseries modernes ou contemporaines ; La tapisserie prend alors un sens nouveau, il ne s'agit plus de représenter un sujet à la manière traditionnelle mais affronter de nouvelles difficultés ; obtenir un rendu pictural, inventer de nouvelles couleurs, réinventer la science photographique, appliquer la sculpture à l'art de la tapisserie. Quelques exemples :

 Traquandi, Plante avec un oeil, 1966. 

 Paul-Armand Gette. 
 Cuzin, le jardin des Gobelins, 2011.

Jacques Monory, Jungle II, 2012.

Etienne Hajdu, Feuilles, tapis de la Savonnerie. 


Au sein de l'exposition, vous pourrez aussi trouver du mobilier en petite quantité, et majoritairement des années 1920 / 1930, un art massivement floral et quelque peu pompeux.

 Paul Follot. 
Emile Gaudissard. 

Pour les amoureux de l'impressionnisme, on trouvera deux Monet au sein de cette exposition. Claude Monet avait été "réquisitionné" par M.Geffroy pour fournir deux modèles de savonnerie. Néanmoins, n'ayant pas daigné en dessiner pour l'occasion, il a ouvert ses stocks à l'ancien directeur de la Galerie, qui a choisi deux modèles, tissés ensuite par les liciers ! Résultats en images : 



Ces deux tapis en panneaux muraux datent du premier quart du XXe siècle. Le modèle a été fourni par Claude Monet. 

D'autres choses vous y attendent, de la dentelle, du mobilier bien plus moderne et j'en passe ! Donc je vous donne rendez-vous à la Galerie des Gobelins dans le XIIIe à Paris, Métro Gobelins (L.7). 

Pour plus d'informations ; http://www.mobiliernational.culture.gouv.fr/fr/infos-pratiques/paris-gobelins

Le musée est ouvert tous les jours sauf le lundi, à partir de 11h. Vous pouvez également visiter les ateliers de tissage, toutes les infos sont sur le site !

A très vite ! 

vendredi 5 juillet 2013

Hashtag Keur ;

Hello à toutes et à tous ! Aujourd'hui un petit article mode avec Ketsia, que j'ai rencontrée il y a peu. Je l'avais remarquée au début de l'année à la fac avec ses tenues super cool mais j'étais impressionné dirons nous. Du coup, on n'ose pas, et c'est bête ! Fini la philosophie et l'existentialisme pour les nuls, passons aux choses "sérieuses" ;

Ketsia a accepté de poser pour le blog, et ainsi de nous faire découvrir un point de vue qui lui est propre, dans tous les sens du terme.











Sur ces photos, Ketsia porte ;
-Une jupe New look / Une jupe Boohoo,
-Une brassière grise Décathlon,
-Un cardigan kaki vintage,
-Une robe noire à rayures blanches Boohoo,
-Une chemise imprimée empruntée à une amie,
-Un pull à rayures vintage,
-Une banane imprimé militaire vintage,
-Des chaussures Nike noires.

Ketsia puise son style à la base dans la série Skins, dans laquelle les personnages mixaient pas mal les couleurs, car cela leur ressemblait. Ainsi, elle tente de mélanger le côté un peu intemporel du vintage juvénile crazy ainsi que les couleurs et les motifs. Elle aime aussi garder l'aspect "mode" avec le taille haute pour avoir une taille soulignée.
Son style = Mode + Personnages de fiction + Ce qu'elle voit sur les autres et qu'elle s'approprie.

Au niveau musical, on reconnait dans son style un côté street propre au rap qui a bercé son enfance. Ketsia aime aussi l'indie pop.

Merci à toi pour le temps que tu as accordé à cette petite entrevue !

mercredi 3 juillet 2013

Somno bleue ;



Bonjour à toutes et à tous ! Je fais un petit post car une amie a composé son premier court-métrage et il m'a énormément plu ! Son titre ; Somno bleue. Décryptage dans le suivant entretien avec Raphaëlle Caballero !

Pourquoi avoir choisi Somno bleue pour le titre de ce premier court-métrage ?

Raphaëlle Caballero : "Il s'agissait avant tout de faire un rapprochement entre le titre (devant être significatif, mais pas trop) et l'action. La somno est un poison qui donne des hallucinations assez exacerbées, pouvant aussi conduire à la mort. Cette paranoïa ce retrouve notamment chez l'acteur principal du court-métrage."

Pourquoi avez-vous pris le parti d'introduire un parallèle absurde au sein du court-métrage ?
R.C. : "L'objectif premier était de jouer sur l'aspect visuel. C'est une sorte de liberté du regard, montrer les choses autrement que la manière dont nous sommes tous censés les percevoir. Ceci permet une mise en scène de l'inconscient, une bonne expression, un ressenti de l'homme et non l'image de ce ressenti. Ainsi, le spectateur voit, perçoit cette sensation, sans pour autant la lire sur le visage de l'acteur. La paranoïa ne se lit donc pas de la même façon, entre intra-esprit et réalité."

Y a-t-il une signification particulière à l'utilisation du film Prix de beauté que l'on retrouve ici ?
R.C. : "Ce film de 1930 d'Augosto Genina retrace l'histoire d'un couple traversant des difficultés liées à la jalousie du mari. C'était l'occasion d'effectuer un parallèle entre ce film et l'histoire que nous voulions raconter. A la fin de celui-ci, l'homme tue sa femme de jalousie, ceci laissant planer le doute quant à notre court-métrage."

Pourquoi trouve-t-on plusieurs jeunes femmes (dont vous) dans une sorte de cercle tourbillonnant duquel on voudrait s'échapper ? 
R.C. : "Une fois encore, il s'agissait d'agir sur l'image, le visu ; montrer l'esprit perturbé de l'homme dans la tentation."

Avez-vous une idée de thème pour votre prochain film ? 

R.C. : "J'aimerai mettre en scène un univers kitsch, avec des personnages creux, une sorte de teen movie. Le but serait de faire en sorte de bouleverser le spectateur en mettant en place un schéma narratif basique et le briser très rapidement, ainsi, le spectateur aurait perdu ses repères en quelques sortes, puisqu'il se retrouverait devant des événements qu'il n'aurait pas même soupçonnés."

A très vite !

lundi 24 juin 2013

Le passage du deuxième ;

Heeello ! Voici quelques photos que Pauline a pris de moi. Ca faisait un bail que je n'avais pas publié un post "mode" si je peux me permettre. Comme vous pouvez le voir, mes cheveux c'est pas trop ça mais quoiqu'il arrive, la beauté est là (leul des barres ?) 
Pour le détail ; 

-Veste : vintage, achetée à Valentin ; 
-Col : Valentin Parnetzki ;
-Pochette : Sisley
-Pantalon ; H&M ;
-Chaussures ; André.