lundi 18 juillet 2011

Ou la légèreté ;

Je me motive à publier un article littérature en ce jour de grisaille impressionnante, où la motivation manque habituellement. Il est temps que je me prenne en main ! Je vais donc vous parler d'un livre prêté par Mathilde, suite à une discussion sur la littérature actuelle. Il s'agit de la délicatesse, de David Foenkinos. Les histoires à l'eau de rose ne sont pas ma tasse de thé en temps normal, sauf qu'ici, l'auteur nous transporte de manière extrêmement gracieuse dans les mésaventures humaines et l'incompréhension de l'être. Doucement bercé par un récit teinté d'une belle allégresse, le lecteur plonge ensuite avec Nathalie, la protagoniste, dans un spleen porté à son paroxysme. La raison ? Je ne vous la donne pas, bien évidemment. Foenkinos nous prouve une fois encore qu'il est capable de maîtriser de multiples points de vue, de celui ou celle qui souffre, à l'individu qui fait souffrir. Vous serez donc étonnés, tout comme moi, en lisant ce petit joyau, et cela vous permettra de vous distraire le temps d'un après-midi pluvieux (vous avez donc tout l'été si vous viviez au Havre !).





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